Freskollywood, partie 5

Voilà la partie 5 de la #Freskollywood !

Fresque cinéma indien partie 5
Freskollywood work in progress
Freskollywood work in progress

Les tirages envoyés au tipeurs :

Ce qui nous donne en entier (cliquez ici pour une meilleure résolution) :

Fresque cinéma indien

Sont représentés cette fois :  

Ponniyin Selvan: Part I, le mega succés tamoul de 2022. J’avoue ne pas avoir partagé l’engouement général et m’être un peu fait chier. Promis, je vais lui redonner une chance avant d’enchaîner sur le deuxième volet.

Ponniyin Selvan

Angamaly Diaries, du formidable Lijo Jose Pellissery. J’avais arrêté mon visionnage au moment où apparaissaient les cochons car ce sont des images particulièrement difficiles quand on a des fréquentations porcines. J’ai pris sur moi et je me suis forcée à voir la suite il y a quelques semaines. C’est excellent malgré tout et il faut bien reconnaître que le film n’aurait pas vraiment la même tonalité si le gang avait monté une entreprise de jardinage. Mais ça m’a quand même un peu gâché le plaisir. Le dessin représente Pepe, le perso principal, et ses bombes artisanales.

Angamaly Diaries

Ajagajantharam, de Tinu Pappachan. Là encore, il faut mettre sa sensibilité animale de côté et faire fi de ses réticences sur l’exploitation des éléphants pour apprécier le chef d’œuvre. La musique est géniale et l’ambiance démente. On ne s’emmerde pas à trouver de nobles raisons pour se coller des roustes, quelques bananes suffisent à faire dégénérer les festivités et les bagarres sont absolument jouissives (mention spéciale pour le pauvre type qui se retrouve propulsé les quatre fers en l’air dans la marmite de curry).

Ajagajantharam

Sui Dhaagha: Made In India. Voici un petit Bollywood vantant les mérites de l’entreprenariat et de la persévérance dans le travail comme dans le mariage arrangé. Magie indienne : les deux époux qui ne se connaissaient pas avant d’être mariés finissent par tomber amoureux et tout est bien qui finit bien.

Sui Dhaagha: Made In India

Bruce Lee The Fighter. Ram Charan lui-même a désavoué le film dans une interview récente et effectivement, c’est loin d’être un chef d’œuvre avec un scénario qui part à toute berzingue et sans détours à vau l’eau… Le seul intérêt du film réside dans les déhanchés fort bien réalisés de notre alwaysmegapower BG international.

Bruce Lee The Fighter

Ammu épouse un beau policier moustachu mais la belle idylle se transforme en cauchemar de violence domestique. La pauvre Ammu peine à trouver de l’aide dans une société hostile aux femmes, avant de croiser la route d’un allié inattendu qui, lui aussi, s’est pris quelques coups de bâton plus souvent qu’à son tour.

Ammu